Exemple : comment mieux maîtriser mes dépenses de santé ? Exemple : comment obtenir le guide RH ?
Dans cet article, nous allons découvrir comment aborder le télétravail et voir comment il est possible de concilier bien-être avec ce nouveau mode de travail.
Les effets du télétravail
Initialement, le télétravail est source de bien-être et de qualité de vie au travail pour les salariés. Le télétravail permet aux employés d’avoir plus d’autonomie et plus de liberté, ce qui est réduit le stress et d’avoir une meilleure gestion de leur vie professionnelle. Dans cet article, nous allons voir les effets positifs et quelquefois néfastes du télétravail.
Les bienfaits du télétravail
Abordons en premier lieu les bienfaits du télétravail !
C’est un gain de temps pour soi
Le télétravail permet aujourd’hui à de nombreux salariés de mieux concilier vie personnelle et vie professionnelle. On peut désormais passer moins de temps dans les transports et se consacrer davantage à ses activités personnelles, sportives et/ou familiales.
Facteur d’efficacité
D’une façon générale, le télétravail a permis aux salariés d’être davantage efficace, car moins fatigué par le rythme quotidien. Bien souvent, le télétravail a permis aux entreprises de gagner en performance et productivité.
Une meilleure flexibilité
L’un des avantages du télétravail est d’offrir une flexibilité aux salariés. Selon l’accord de l’entreprise, les horaires de travail peuvent varier. Il est possible par exemple, de commencer à 8 heures, ou 9 heures et de gérer son planning « professionnelle/personnelle » à sa convenance.
Améliore la qualité de vie
L’arrivée du télétravail permet d’améliorer la qualité de vie. De nombreux salariés n’ont aujourd’hui plus besoin de vivre près de leur lieu de travail. Les salariés peuvent ainsi s’éloigner, voire même changer de région, pour s’offrir des logements plus grands et souvent un cadre de vie plus agréable : proximité avec la nature, se rapprocher de sa famille…
Certaines sociétés autorisent même le full télétravail, partout en France, en Europe, voire même dans le monde. Ainsi, il est désormais possible de choisir son lieu de résidence en fonction de ses envies, et plus seulement, par rapport au marché de l’emploi.
Les méfaits du télétravail
Dans la partie qui va suivre, nous allons, au contraire, aborder les méfaits que le télétravail peut aussi engendrer.
Risque d’isolement
Plusieurs études s’accordent pour dire que le télétravail peut être vecteur d’isolement.
Habituellement, le travail permet de côtoyer des collègues toute la journée, de discuter, de se sociabiliser. Or le télétravail, notamment si celui-ci est prolongé, pourrait avoir un effet néfaste sur la santé des salariés qui se retrouveraient sans lien social. Le sentiment d’isolement est bien sûr renforcé lorsqu’un salarié vit seul. Mais ce sentiment peut aussi apparaître face à une charge de travail trop importante et au fait que le salarié n’ait pas la possibilité en télétravail de « décompresser » avec ses collègues, durant la pause déjeuner par exemple.
Être trop à l’écart de son entreprise ou de son équipe
Le risque majeur du télétravail est d’être trop en marge de son entreprise et/ou de son équipe et ainsi de ne plus se sentir impliqué. Comme nous allons le voir plus loin, il est nécessaire de garder le lien avec son équipe, son manager, pour rester informé des évolutions de la société, des affaires gagnées, des objectifs à atteindre et continuer à être motivé.
Risque plus important lié à la sédentarité
Le télétravail peut bien entendu engendrer une certaine sédentarité, qui peut être néfaste pour la condition physique du salarié. Devant son écran d’ordinateur toute la journée, le soir devant la télévision, les jeux vidéos, ou sur son smartphone, les écrans représentent une grande partie de notre quotidien. L’Organisation Mondiale de la Santé recommande d’effectuer 10 000 pas par jour, de pratiquer une activité sportive. Mais il est aussi essentiel de s’étirer régulièrement notamment lorsqu’on est souvent en position assise. Il est ainsi important d’avoir une activité physique lorsque la journée de télétravail se termine : marcher, faire du sport, monter les escaliers…
Comment rester performant en télétravail
Rester constamment en contact avec ses collègues
L’isolement peut devenir un problème grave. Un salarié qui travaille seul chez lui pourra peut-être, par exemple, souffrir d’isolement en raison d’un manque d’interaction.
Un salarié qui se replie sur lui, qui communique peu avec l’entreprise, peut aussi être un signe de dépression en raison de l’isolement. C’est pourquoi, afin d’éviter que le télétravail devienne un facteur de risque, il est impératif de maintenir régulièrement un lien social avec ses collègues.
Des points « visio », des appels téléphoniques réguliers peuvent être un moyen de maintenir le contact. Et pourquoi pas, organiser de temps à autres, des déjeuners avec son équipe.
Organiser ses journées
En télétravail, le salarié sera seul maître de la gestion de son temps et de son travail. Il faut être en mesure d’organiser sa journée de travail en accomplissant ses objectifs et en étant disponible autant pour ses collègues, son manager et les éventuels clients, fournisseurs. La difficulté est donc d’être pleinement autonome et de faire preuve d’un grand sens de l’organisation. Voici quelques conseils pour y parvenir :
- Réaliser une « to do list » pour y lister les missions de sa journée
- Définir des objectifs hebdomadaires
- Choisir d’accomplir les travaux qui nécessitent le plus d’attention, selon le moment de la journée où on est le plus productif
Organiser son espace de travail
Pour le bien être mental, il est important de dissocier un lieu dédié au travail à son propre domicile. En effet, si l’on travaille dans sa pièce principale, sa pièce de vie, le risque est de ne pas réussir à se déconnecter totalement du travail. Il est ainsi important de s’aménager, dans la mesure du possible, un espace dédié à son activité professionnelle : un bureau, une pièce entière… et bien sûr fermer et/ou ranger son ordinateur en fin de journée.
Faire des pauses
En télétravail, il n’est pas bon de rester « enfermé » et face à son écran toute la journée. C’est pourquoi, il est nécessaire de s’octroyer quelques pauses de 10/15 minutes dans la journée. L’occasion d’aller faire quelques pas en extérieur, de boire un café sur sa terrasse, de faire quelques étirements…
Faire du sport
Le télétravail entraîne bien souvent un mode de vie sédentaire, le salarié n’ayant plus le besoin de se déplacer pour se rendre sur son lieu de travail. La recommandation d’effectuer 10 000 pas par jour n’est alors bien souvent pas respecté. D’après l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la sédentarité serait le premier facteur de mortalité. La pratique du sport lorsque l’on exerce en télétravail est ainsi vivement recommandé. Les bienfaits sur la santé sont nombreux :
- Amélioration de la respiration
- Renforcement du cœur
- Réduction de la pression artérielle et du stress
- Maintien du capital musculaire
Surveiller la charge de travail
Le télétravail ne veut pas dire que le salarié doit être disponible à tout moment. A partir d’une certaine heure, le soir, le salarié a le droit « à la déconnexion ». S’il est vrai qu’il est plus difficile de marquer la différence entre la vie professionnelle et personnelle avec l’arrivée du télétravail, il est toutefois nécessaire que le salarié puisse couper de son activité professionnelle et ne pas être sollicité à des heures tardives. Il est aussi nécessaire de veiller à la charge de travail du salarié. Pour cela, des points réguliers peuvent être fait avec le manager.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
CARCEPT Prévoyance
En l’absence d’une désignation particulière expresse dûment notifiée par vos soins à l’Institution, le capital décès est versé selon l’ordre de priorité ci-après :
- votre conjoint survivant, non divorcé, non séparé de corps judiciairement ou de fait ou le partenaire auquel vous êtes lié par un PACS.
En cas de polygamie valable en droit en raison de votre nationalité ou du lieu de votre mariage, le capital est réparti par parts égales entre vos conjoints non divorcés, non séparés de corps judiciairement ou de fait. - à défaut, votre concubin peut, s’il répond aux conditions définies dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172), être assimilé à votre conjoint ;
- à défaut, et par parts égales, vos enfants à charge tels que définis dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172) pour l’ouverture du droit à la majoration du capital ;
- à défaut, et par parts égales, vos autres enfants, vivants ou représentés ;
- à défaut, et par parts égales, vos ascendants ;
- à défaut, et par parts égales, vos héritiers.
AG2R
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Sauf désignation particulière expresse dûment notifiée par vous-même à l’Institution, et sous réserve de dispositions spécifiques prévues sur le récapitulatif des garanties en annexe, le capital de base est payable :
- à votre conjoint, tel que défini précédemment ;
- à votre concubin, tel que défini précédemment ;
- à défaut, à vos enfants, vivants ou représentés, par parts égales entre eux ;
- à défaut, à vos ascendants, par parts égales entre eux et en cas de décès de l’un d’eux la totalité au survivant ;
- à défaut, à vos héritiers.
Dans l’hypothèse où le(s) bénéficiaire(s) désigné(s) décède(nt) avant le Participant, le capital sera attribué dans l’ordre défini ci-dessus en l’absence de désignation.
FERMERS’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
- En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
- À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux
1 / Perte de traitement consécutive à une incapacité temporaire de travail
-
La garantie Incapacité temporaire de travail indemnise l’agent pour l’ensemble de ses arrêts de travail dès le passage à demi-traitement (hors AT/MP statutairement à la charge de l’employeur)
2/ Perte de traitement consécutive à une invalidité
-
La garantie Invalidité complète le traitement de l’agent du jour de son passage en retraite pour Invalidité jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
3 / Capital Décès / Porte Totale et Irréversible d’Autonomie
-
La garantie Décès permet le versement d’un capital à la hauteur de 100% du TIB de l’agent (contrairement au statut qui prévoit une indemnité en % du PMSS)
4 / Minoration de pension de retraite consécutive à une invalidité
-
La garantie Perte de retraite complète le manque à gagner subi par l’agent en situation d’Invalidité permanente jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
S’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
-
En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
-
À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux