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Comment soulager un mal de dos ?
On estime qu’environ 80% de la population mondiale souffre – ou à un jour souffert – d’un mal de dos.
Vous trouverez dans cet article, quelques moyens efficaces pour tenter de prévenir et de réduire ce mal au quotidien.
Adopter une bonne posture et s’étirer
Pour prévenir les problèmes de dos, il est essentiel d’adopter une bonne posture, notamment si l’on exerce un emploi où l’on est régulièrement assis. L’idéal est d’avoir une posture avec un bon alignement de la colonne vertébrale. Dès l’apparition d’une douleur au dos, il faut alors s’étirer pour « agrandir » sa colonne vertébrale.
L’immobilité n’est pas préconisée, celle-ci peut accentuer le mal de dos. Il faut au contraire être actif, marcher, sans pour autant pratiquer une activité sportive trop intense qui pourrait accentuer les douleurs.
Apporter un bon confort à son sommeil
Le sommeil est essentiel à la bonne condition physique d’un individu. En moyenne, nous dormons entre 6 et 8 heures. Les conditions de sommeil d’une personne peuvent influer sur un éventuel mal de dos. Ainsi, il est nécessaire en premier lieu de dormir sur un matelas confortable. Pour une personne sujet au mal de dos, un matelas mi-ferme voire ferme sera alors recommandé.
A noter que la durée de vie d’un matelas est en moyenne de dix ans, passé ce délai, il faudra penser à renouveler sa literie. Il en est de même pour la durée de vie d’un oreiller, sa durée de vie est d’environ cinq ans. Il a d’ailleurs été prouvé que les oreillers ergonomiques apportent un meilleur soutien morphologique que les oreillers classiques. Alors pourquoi ne pas opter pour ce type d’oreiller ! Enfin, une mauvaise posture durant le sommeil peut être à l’origine de douleurs dorsales. Assurez-vous que votre colonne vertébrale soit dans un alignement neutre.
Ne pas être sédentaire
De façon générale, le dos devient douloureux car il est peu ou mal sollicité. Ainsi, la sédentarité est très néfaste pour notre condition physique et peut notamment être à l’origine de douleurs dorsales.
Aujourd’hui, les écrans représentent une très grande part de notre quotidien. Or, devant la télévision, les jeux vidéo… notre posture est bien souvent mauvaise et prolongée, ce qui peut provoquer à long terme des problèmes de dos. L’Organisation Mondiale de la Santé recommande d’effectuer 10 000 pas par jour, de pratiquer une activité sportive. Mais il est aussi essentiel de s’étirer régulièrement notamment lorsqu’on est souvent en position assise.
Faire des exercices pour renforcer son dos
Il existe plusieurs exercices à réaliser chez soi, pour renforcer son dos. En voici quelques uns :
- Galber vos épaules
Mettez-vous debout, le dos bien droit. Rentrez votre ventre. Prenez des petites haltères (ou des bouteilles d’eau) dans vos mains. Faites des rotations vers l’extérieur avec vos petits haltères en main.
- Dessiner votre dos
Mettez-vous en position allongé sur le ventre. Votre front doit être posé au sol. Placez vos mains de chaque côté de votre tête. Vos avant-bras doivent être fléchis à 90°. Effectuez des élévations de vos mains, avant-bras et bras comme s’ils ne formaient qu’un seul bloc.
- Muscler vos lombaires
Placez-vous en position allongé(e) sur le ventre. Mettez-vous en appui sur les avant-bras, les genoux et les demi-pointes. Gainez le ventre et décollez les genoux en allongeant vos jambes, et en tenant sur vos coudes.
- Assouplisser votre dos
Debout, placez vos deux pieds bien parallèles. Accroupissez-vous en tentant de rapprocher vos fesses de vos talons.
Mettre le stress de coté
La colonne vertébrale est le pilier du corps humain. Tout au long de notre vie, à travers les événements que nous rencontrons, la colonne vertébrale va absorber toutes sortes de tension, contraintes, que l’individu peut rencontrer. Ainsi, en période de stress, le corps aura tendance à se raidir pour tenter « de se protéger » face à cette forme d’agression. Or, un muscle contracté de façon trop prolongé, peut entraîner des douleurs dorsales, lombaires. Pour éviter ce type de douleurs, il est essentiel d’apprendre à évacuer le stress et de prendre soin de sa santé physique et psychologique.
Perdre du poids
Quelques fois, les douleurs dorsales peuvent aussi s’expliquer par une prise de poids importante. Un surpoids peut engendrer plusieurs problèmes :
- Affaiblissement des muscles de la ceinture abdominale ;
- Apparition d’arthrose, de hernies discales, d’inflammation des articulations dorsales ;
- Une colonne vertébrale moins soutenue.
Selon son poids, une personne pourra ainsi souffrir de différents désagréments et notamment d’un mal de dos. Si vous êtes dans cette situation, il faudra peut-être alors en discuter avec votre médecin pour avoir son avis, et peut-être envisager de perdre quelques kilos.
Arrêter de fumer
Selon le docteur Anand M. Navarasala, spécialiste en médecine physique et réadaptation à Indianapolis, la cigarette augmenterait le mal de dos à plusieurs niveaux :
- D’après son étude, le taux de douleurs chroniques du dos est plus élevé chez les fumeurs.
- Le taux de lombalgie chronique est plus élevé chez les fumeurs que chez les non-fumeurs. De plus, les fumeurs ressentiraient une douleur plus intense.
La colonne vertébrale est constituée de vertèbres et de disques, qui ont besoin d’oxygène et de sang riches en nutriments, pour bien fonctionner. Or, le fait de fumer réduit le flux sanguin. La nicotine provoque des dommages aux muscles de la colonne vertébrale et peut conduire ainsi à des douleurs au dos.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
CARCEPT Prévoyance
En l’absence d’une désignation particulière expresse dûment notifiée par vos soins à l’Institution, le capital décès est versé selon l’ordre de priorité ci-après :
- votre conjoint survivant, non divorcé, non séparé de corps judiciairement ou de fait ou le partenaire auquel vous êtes lié par un PACS.
En cas de polygamie valable en droit en raison de votre nationalité ou du lieu de votre mariage, le capital est réparti par parts égales entre vos conjoints non divorcés, non séparés de corps judiciairement ou de fait. - à défaut, votre concubin peut, s’il répond aux conditions définies dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172), être assimilé à votre conjoint ;
- à défaut, et par parts égales, vos enfants à charge tels que définis dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172) pour l’ouverture du droit à la majoration du capital ;
- à défaut, et par parts égales, vos autres enfants, vivants ou représentés ;
- à défaut, et par parts égales, vos ascendants ;
- à défaut, et par parts égales, vos héritiers.
AG2R
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Sauf désignation particulière expresse dûment notifiée par vous-même à l’Institution, et sous réserve de dispositions spécifiques prévues sur le récapitulatif des garanties en annexe, le capital de base est payable :
- à votre conjoint, tel que défini précédemment ;
- à votre concubin, tel que défini précédemment ;
- à défaut, à vos enfants, vivants ou représentés, par parts égales entre eux ;
- à défaut, à vos ascendants, par parts égales entre eux et en cas de décès de l’un d’eux la totalité au survivant ;
- à défaut, à vos héritiers.
Dans l’hypothèse où le(s) bénéficiaire(s) désigné(s) décède(nt) avant le Participant, le capital sera attribué dans l’ordre défini ci-dessus en l’absence de désignation.
FERMERS’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
- En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
- À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux
1 / Perte de traitement consécutive à une incapacité temporaire de travail
-
La garantie Incapacité temporaire de travail indemnise l’agent pour l’ensemble de ses arrêts de travail dès le passage à demi-traitement (hors AT/MP statutairement à la charge de l’employeur)
2/ Perte de traitement consécutive à une invalidité
-
La garantie Invalidité complète le traitement de l’agent du jour de son passage en retraite pour Invalidité jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
3 / Capital Décès / Porte Totale et Irréversible d’Autonomie
-
La garantie Décès permet le versement d’un capital à la hauteur de 100% du TIB de l’agent (contrairement au statut qui prévoit une indemnité en % du PMSS)
4 / Minoration de pension de retraite consécutive à une invalidité
-
La garantie Perte de retraite complète le manque à gagner subi par l’agent en situation d’Invalidité permanente jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
S’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
-
En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
-
À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux