Exemple : comment mieux maîtriser mes dépenses de santé ? Exemple : comment obtenir le guide RH ?
Les fêtes de fin d’années arrivent et avec elles leur cortège de plats traditionnels qui ne brillent pas par leur légèreté : dinde farcie, foie gras, saumon, marrons, bûches et chocolats de Noël… Vous avez surveillé votre ligne et vous appréhendez les petits écarts pendant les fêtes ? Pas question de faire « fêtes à part ».
Tout d’abord, sachez qu’il vous arrivera de faire des écarts et vous avez bien raison de profiter de ces moments de convivialité. Mais ne vous inquiétez pas, nous avons des solutions si vous redoutez la prise de poids !
Prise de poids pendant les repas de fêtes, pourquoi ?
Repas de fête, pourquoi prend-t-on du poids ?
Particulièrement en France, pays dit des « bons vivants », les évènements familiaux et fêtes sont synonymes de bons repas et donc de menus pouvant être très riches. Cela peut commencer dès l’apéritif où alcools et petits gâteaux salés ou autres toasts peuvent être proposés. Ce sont des aliments souvent très riches en graisse et en sel et donc pouvant peser au final sur la balance. Ensuite, les plats sont généralement des plats traditionnels, où le beurre et la sauce sont rois. Certes ils sont là pour assurer un repas savoureux, néanmoins, il faudra faire attention aux quantités que vous prenez si vous faites attention à votre ligne. Enfin, le dessert, convoité par les amateurs de sucres. Même si les fruits sont une option particulièrement raisonnable, surtout en fin de banquet, il peut être difficile de résister aux bûches et autres mignardises proposées.
Au final, c’est donc une belle addition de graisses, sels et sucres pouvant influer sur la balance. A réserver pour les très grandes occasions où nous vous invitons à suivre les quelques conseils qui suivent.
Difficile de savoir dire non
Même avec la meilleure volonté du monde, il est parfois difficile d’éviter les grands repas. En effet, souvent en famille ou pour célébrer une occasion, il serait dommage de se priver d’un moment festif sous prétexte d’avoir peur des kilos indésirables. Dans ce cas, votre détermination est votre meilleure alliée. Vous pouvez faire l’impasse sur les gâteaux apéritifs par exemple et limiter les accompagnements les plus riches avec le plat ou encore prendre en petites quantités de tout pour éviter la frustration.
Aussi, il va falloir apprendre à dire non à vos yeux qui lorgneraient un nouveau morceau de pain pour saucer votre assiette, à votre estomac qui appellerait encore du sucre ou encore à vos hôtes qui vous proposent de « reprendre une petite part ».
Que faut-il éviter ?
L’alcool, ennemi n°1
L’alcool n’est pas la boisson la plus bénéfique pour notre corps. Inutile de rappeler tous ses méfaits comme la diminution de glucose dans le sang ou encore l’augmentation du taux de cholestérol. Les boissons alcoolisées apportent beaucoup de calories « vides » à notre organisme, c’est à dire non utiles à la santé. Ainsi, chaque gramme d’éthanol contient 7 calories. Par ailleurs, les calories de l’alcool sont vite transformées en graisse corporelle. Prenez soin de ne pas vider votre verre de vin trop vite et pensez à boire beaucoup d’eau pendant le repas.
Privilégiez les boissons fruitées – attention au piège des boissons trop sucrées – ou tout simplement l’eau plate ou gazeuse, pour accompagner vos repas si vous voulez préserver votre santé. Pour ceux qui préfèrent avoir un peu de vin pour accompagner un bon repas, il est conseillé de boire un verre d’eau entre deux verres pour s’hydrater et mieux récupérer.
Aliments à éviter
Comme vu plus haut, pour avoir une assiette équilibrée pendant les fêtes, il faudra être attentif au quantité et au choix que vous allez faire pendant le repas. Ainsi, il est possible de manger « gras » mais le mauvais gras sera à éviter ou limiter. Sont concernés les lipides issus des graisses animales (dinde, porc, agneau). On limitera également les charcuteries, le fromage ou encore le foie gras. Idem pour le sucre, les parts de gâteaux sucrés seront donc à bien calibrer en fonction de la faim et surtout évitez de succomber à de la pure gourmandise. Votre estomac vous remerciera.
Si c’est vous qui êtes aux fourneaux, nous vous conseillons de privilégier les huiles végétales (l’huile d’olive par exemple). En effet, elles permettent d’éviter les mauvais cholestérols. Si vous avez prévus de choisir des plats industriels pour vous faire gagner du temps, attention aux étiquettes car ils peuvent contenir du mauvais gras et être très riches en sel.
Manger de façon équilibrée pendant les fêtes, c’est oui !
Aliments à privilégier
De nombreux aliments sont à votre disposition pour booster votre organisme :
– Les fruits de mer et les huîtres peuvent remplacer vos entrées : très riches en zinc, ils sont en plus très savoureux, donc n’attendez pas pour en acheter même hors période de fêtes !
– Les légumes verts peuvent intégrer vos quiches ou vos apéritifs par exemple,
– Le pain complet plutôt que les pains blancs,
– Les fruits sont bien évidemment à ajouter dans vos desserts.
Pour grignoter « sainement », optez pour les crudités (bâtonnets de carottes, céleri, bouquets de chou-fleur, tomates cerises, radis… nature ou accompagnés d’une sauce au fromage blanc ou au yaourt ou d’une sauce soja), des chiffonnades de jambon de pays, viande des grisons, une fine tranche de truite fumée, des crevettes, moules, coques, olives vertes, œufs de poisson…
Ne grignotez pas de pain en attendant les plats et ne vous servez pas trop de sauce, vous ne serez pas tenté de saucer votre assiette.
Astuces pour un organisme au top
- Cocktail détox aux fruits en fin de repas
Il est très important de bien s’hydrater, pour éliminer les déchets par l’urine. Il est ainsi recommandé de boire environ 1,5 litre d’eau par jour pour un adulte. N’oubliez pas de boire un verre d’eau dès que vous vous réveillez, pour mettre en marche votre appareil digestif.
Les saisons sont froides, votre organisme a besoin d’être renforcé pour favoriser un bon système immunitaire. Ne lâchez pas vos activités physiques sous prétexte des températures plus basses. Bougez et mangez équilibré, ça ne sera que positif pour être en bonne forme. D’ailleurs, il existe plusieurs moyens de se dépenser à la maison, donc inutile de se trouver des excuses !
- Remèdes pour se sentir mieux après les repas de fêtes :
Bien souvent, votre foie aura été malmené pendant les fêtes. Il aura eu à gérer une alimentation différente et souvent bien plus lourde et riche (gras, alcool, sucre). Si vous sentez que vous avez du mal à récupérer, vous pouvez aider un peu votre organisme avec une petite diète plus ou moins légère selon votre besoin.
Certains pourront avoir besoin de jeuner complètement pour éliminer les excès. Il sera alors nécessaire de continuer à s’hydrater par des infusions de plantes. Certains mélanges « après-repas » ou « digestion facile » seront vos meilleurs alliés.
Si le jeune complet vous fait un peu peur, vous avez la possibilité de faire une « mono-diète ». Cela consiste à ne consommer qu’un seul aliment sur la journée. Après fête, vous pouvez opter pour un bouillon de légumes verts sans ajouter du sel ni de matière grasse. Votre système digestif sera ainsi ménagé et pourra s’attaquer à toutes les toxines accumulées.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
CARCEPT Prévoyance
En l’absence d’une désignation particulière expresse dûment notifiée par vos soins à l’Institution, le capital décès est versé selon l’ordre de priorité ci-après :
- votre conjoint survivant, non divorcé, non séparé de corps judiciairement ou de fait ou le partenaire auquel vous êtes lié par un PACS.
En cas de polygamie valable en droit en raison de votre nationalité ou du lieu de votre mariage, le capital est réparti par parts égales entre vos conjoints non divorcés, non séparés de corps judiciairement ou de fait. - à défaut, votre concubin peut, s’il répond aux conditions définies dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172), être assimilé à votre conjoint ;
- à défaut, et par parts égales, vos enfants à charge tels que définis dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172) pour l’ouverture du droit à la majoration du capital ;
- à défaut, et par parts égales, vos autres enfants, vivants ou représentés ;
- à défaut, et par parts égales, vos ascendants ;
- à défaut, et par parts égales, vos héritiers.
AG2R
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Sauf désignation particulière expresse dûment notifiée par vous-même à l’Institution, et sous réserve de dispositions spécifiques prévues sur le récapitulatif des garanties en annexe, le capital de base est payable :
- à votre conjoint, tel que défini précédemment ;
- à votre concubin, tel que défini précédemment ;
- à défaut, à vos enfants, vivants ou représentés, par parts égales entre eux ;
- à défaut, à vos ascendants, par parts égales entre eux et en cas de décès de l’un d’eux la totalité au survivant ;
- à défaut, à vos héritiers.
Dans l’hypothèse où le(s) bénéficiaire(s) désigné(s) décède(nt) avant le Participant, le capital sera attribué dans l’ordre défini ci-dessus en l’absence de désignation.
FERMERS’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
- En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
- À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux
1 / Perte de traitement consécutive à une incapacité temporaire de travail
-
La garantie Incapacité temporaire de travail indemnise l’agent pour l’ensemble de ses arrêts de travail dès le passage à demi-traitement (hors AT/MP statutairement à la charge de l’employeur)
2/ Perte de traitement consécutive à une invalidité
-
La garantie Invalidité complète le traitement de l’agent du jour de son passage en retraite pour Invalidité jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
3 / Capital Décès / Porte Totale et Irréversible d’Autonomie
-
La garantie Décès permet le versement d’un capital à la hauteur de 100% du TIB de l’agent (contrairement au statut qui prévoit une indemnité en % du PMSS)
4 / Minoration de pension de retraite consécutive à une invalidité
-
La garantie Perte de retraite complète le manque à gagner subi par l’agent en situation d’Invalidité permanente jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
S’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
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En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
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À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux