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Nos 10 astuces pour gagner du temps
Comprendre où l’on perd du temps
Dans une journée, nous pouvons avoir plusieurs impératifs à gérer, que ce soit à titre personnel, pour soi-même ou sa famille, ou à titre professionnel. Il s’agit alors de mener une réelle course contre le temps afin d’avoir rempli parfois toute une liste de tâche fixée sur une journée, une semaine, un mois… Pour éviter de perdre son temps, il faut se demander quelles sont les tâches accessoires, les activités inutiles et habitudes qui peuvent être improductives
Listez vos tâches et organisez-les
Face à un planning qui s’annonce chargé ou encore face à des journées qui s’annoncent bien remplies, il peut être difficile d’organiser sa journée. On parle alors de charge mentale. La charge mentale est un « travail de gestion, d’organisation et de planification qui est à la fois intangible, incontournable et constant, et qui a pour objectif la satisfaction des besoins de chacun et la bonne marche de la résidence », selon la chercheuse Nicole Brais (Université Laval, Québec).
Pour y voir plus clair, prioriser et identifier les tâches qui sont impérativement à réaliser sur une durée donnée, le meilleur moyen est encore de l’écrire. Il sera alors plus aisé de les organiser dans le temps de vérifier que tout peut être réalisé dans les temps. Des outils sont à votre disposition pour vous aider et par exemple avoir des notifications ou encore des rappels pour faciliter votre organisation.
Traitez les tâches pénibles, difficiles en priorité
Pour les tâches et activités qui nous plaisent, nous les réalisons généralement en premier et relativement vite. A contrario, pour celles qui nous plaisent peu ou que l’on considère comme des contraintes, il faudra miser sur la satisfaction d’avoir accompli une tâche en moins pour compenser le manque de plaisir.
Une échappatoire possible sera de déléguer la tâche ou encore de la remettre à plus tard. On parle dans ce dernier cas de procrastination. Mais viendra un temps où vous ne pourrez plus reculer. Pour que cela se passe au mieux, nous vous conseillons de faire la tâche du mieux possible et de trouver du positif dans cette action. Plus vous réussirez à prendre du plaisir, plus l’effort sera moindre.
Vous pouvez également décider de traiter les plus difficiles en priorité. Une fois retirées de la liste, vous vous sentirez plus motivé pour poursuivre la liste des tâches qui vous attendent.
Réduisez les réunions : Privilégiez les appels ou les mails
Les réunions peuvent parfois amputer une bonne partie de la journée. Parfois, trop longues, elles peuvent également faire perdre du temps en étant mal structurées ou sans objectifs précis.
Selon un baromètre Wisembly/IFOP, les cadres perdraient en moyenne 10 jours par an dans des réunions inefficaces. Autre donnée, cette fois-ci selon une enquête OpinionWay datant de 2017 et menée dans des secteurs économiques variés, les répondants avaient indiqué passer en moyenne 4,5 heures en réunion par semaine. Ainsi, en fonction de l’objet de votre réunion, il peut s’avérer plus utile de faire un mail auprès des personnes concernées et obtenir des réponses directement. Vous pouvez également répartir les missions à chacun de manière individuelle plutôt que de mobiliser tout un groupe sur un créneau généralement d’une heure. Autre possibilité, un coup de fil peut se révéler tout aussi efficace s’il s’agit de faire un point d’étape ou de relancer certaines actions liées à un projet.
Savoir faire une pause
Pour mettre au clair ses idées et prendre du recul par rapport à une liste de tâches qui peut paraitre insurmontable, il est parfois plus efficace de faire une pause. Cela permettra également de poser clairement les choses, de penser à quelque chose de moins stressant, pour ensuite reprendre les choses en étant plus détendu. Parfois, une simple pause café ou se lever pour se dégourdir les jambes peut être suffisant.
Bloquez-vous des créneaux de travail dans votre agenda
Afin de ne pas passer une journée sur-sollicitée par vos collègues de bureau, vous pouvez aménager votre agenda afin de ne pas pouvoir être dérangé. Pour cela, il suffit de verrouiller des créneaux dans votre agenda et de les affecter à des tâches précises. Ainsi, vous aurez à la fois réparti vos missions sur une semaine ou une journée et aménagé votre temps de travail.
Mettez-vous à l’écart pour travailler efficacement
Le retour de la proximité avec vos collègues peut également avoir des effets de sur-sollicitation. Après les périodes de confinement que nous avons vécus, vos collègues, contents de vous retrouver, seront peut-être plus bavards qu’accoutumé. Ces derniers peuvent donc plus facilement vous solliciter si vous êtes à côté sans se rendre compte que cela peut perturber votre journée de travail. Aussi, pour travailler plus efficacement, il est parfois utile de s’éloigner un peu, dans une salle de réunion par exemple, ou à un autre étage si vous le pouvez.
Répertoriez les tâches à suivre dans le temps
Nous avons vu qu’il était recommandé de lister vos tâches et de les organiser pour y voir plus clair. L’étape suivante sera d’en assurer le suivi dans le temps. Pour cela, vous pouvez utiliser des codes couleurs, des pourcentages, des indicateurs. Tout élément qui vous permettra en un clin d’œil de voir où vous en êtes de vos actions en cours ou à venir.
Dédiez un moment de la journée pour traiter vos mails
Le nombre de mails reçus par jour peut être plus ou moins élevé. On reçoit des mails qui nous sont dédiés et des mails dont on est en copie. A cela, s’ajoute les newsletters, les publicités, les sollicitations externes. Pour faire le tri et en assurer le traitement, il faut parfois se dédier un temps précis dans la journée. Vous pouvez créer un temps récurrent dans votre agenda et ainsi tout passer en revue sur ce créneau. Vous pouvez également faire un premier tri et prévoir un temps dédié pour les emails plus longs à traiter.
Pour vous aider, vous pouvez désactiver les notifications de votre boite mail. Cela vous évitera d’être tenté en dehors des plages dédiées.
Enfin, il est parfois nécessaire de faire le tri dans les différentes newsletters que vous recevez. Vous vous êtes peut être inscrit à une newsletter pensant qu’elle vous serait utile mais vous ne l’avez finalement jamais ouverte. Le moment est donc venu de vous désinscrire de celles que vous ne lisez pas.
Savoir dire non
Dans une journée, vous pouvez également perdre du temps si vous vous retrouvez à gérer des missions à la place de vos collègues ou à répondre à des sollicitations externes. Même si vous êtes de nature à vouloir rendre service, cela peut vous mobiliser plus que nécessaire. Aussi, le seul moyen sera d’apprendre à dire non plus souvent. Vos collègues, voyant que vous faites preuve non pas de mauvaise volonté, mais que vous avez besoin de ce temps pour autre chose, ne vous solliciteront par la suite que s’ils n’ont pas d’autres moyens de solutionner leur problème.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
CARCEPT Prévoyance
En l’absence d’une désignation particulière expresse dûment notifiée par vos soins à l’Institution, le capital décès est versé selon l’ordre de priorité ci-après :
- votre conjoint survivant, non divorcé, non séparé de corps judiciairement ou de fait ou le partenaire auquel vous êtes lié par un PACS.
En cas de polygamie valable en droit en raison de votre nationalité ou du lieu de votre mariage, le capital est réparti par parts égales entre vos conjoints non divorcés, non séparés de corps judiciairement ou de fait. - à défaut, votre concubin peut, s’il répond aux conditions définies dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172), être assimilé à votre conjoint ;
- à défaut, et par parts égales, vos enfants à charge tels que définis dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172) pour l’ouverture du droit à la majoration du capital ;
- à défaut, et par parts égales, vos autres enfants, vivants ou représentés ;
- à défaut, et par parts égales, vos ascendants ;
- à défaut, et par parts égales, vos héritiers.
AG2R
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Sauf désignation particulière expresse dûment notifiée par vous-même à l’Institution, et sous réserve de dispositions spécifiques prévues sur le récapitulatif des garanties en annexe, le capital de base est payable :
- à votre conjoint, tel que défini précédemment ;
- à votre concubin, tel que défini précédemment ;
- à défaut, à vos enfants, vivants ou représentés, par parts égales entre eux ;
- à défaut, à vos ascendants, par parts égales entre eux et en cas de décès de l’un d’eux la totalité au survivant ;
- à défaut, à vos héritiers.
Dans l’hypothèse où le(s) bénéficiaire(s) désigné(s) décède(nt) avant le Participant, le capital sera attribué dans l’ordre défini ci-dessus en l’absence de désignation.
FERMERS’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
- En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
- À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux
1 / Perte de traitement consécutive à une incapacité temporaire de travail
-
La garantie Incapacité temporaire de travail indemnise l’agent pour l’ensemble de ses arrêts de travail dès le passage à demi-traitement (hors AT/MP statutairement à la charge de l’employeur)
2/ Perte de traitement consécutive à une invalidité
-
La garantie Invalidité complète le traitement de l’agent du jour de son passage en retraite pour Invalidité jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
3 / Capital Décès / Porte Totale et Irréversible d’Autonomie
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La garantie Décès permet le versement d’un capital à la hauteur de 100% du TIB de l’agent (contrairement au statut qui prévoit une indemnité en % du PMSS)
4 / Minoration de pension de retraite consécutive à une invalidité
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La garantie Perte de retraite complète le manque à gagner subi par l’agent en situation d’Invalidité permanente jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
S’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
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En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
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À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux