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Journée mondiale de la maladie de Kawasaki
Le 26 janvier, le monde se rassemble pour la Journée mondiale de la maladie de Kawasaki, une maladie rare touchant principalement les enfants de moins de 5 ans. Avec des symptômes distinctifs et parfois graves, cette journée vise à sensibiliser, à soutenir les personnes touchées, et à promouvoir la recherche médicale.
La maladie de Kawasaki : aperçu
Définition de la maladie de Kawasaki
La maladie de Kawasaki est une pathologie inflammatoire rare qui affecte principalement les enfants de moins de 5 ans. Décrite pour la première fois par le médecin japonais Tomisaku Kawasaki dans les années 1960, elle se caractérise par une inflammation des vaisseaux sanguins, en particulier des artères coronaires. Bien que les causes exactes de la maladie restent inconnues, elle est souvent associée à des réponses immunitaires anormales à des infections virales ou bactériennes.
Symptômes distinctifs de la maladie de Kawasaki
La maladie de Kawasaki présente une série de symptômes distinctifs dont l’un des plus marquants est une fièvre persistante d’au moins cinq jours. Les enfants peuvent également développer une éruption cutanée variant en apparence, mais souvent rouge et irrégulière. Une autre manifestation significative est l’inflammation des artères coronaires, les vaisseaux sanguins alimentant le cœur en sang. Cette inflammation peut entraîner des complications cardiaques potentiellement graves si la maladie n’est pas diagnostiquée et traitée précocement. Ces symptômes combinés exigent une attention médicale immédiate pour un diagnostic précis et un traitement approprié.
Les enjeux et les conséquences
La maladie de Kawasaki, bien que rare, présente des enjeux significatifs, surtout lorsqu’elle n’est pas diagnostiquée suffisamment tôt.
La principale préoccupation réside dans les complications cardiaques qui peuvent découler de l’inflammation des artères coronaires. En l’absence d’un diagnostic précoce et d’un traitement approprié, la maladie de Kawasaki peut conduire à des problèmes cardiovasculaires graves, tels que des anévrismes coronaires, une altération de la fonction cardiaque et d’autres complications vasculaires. Ces complications peuvent affecter la santé à long terme de l’enfant et nécessitent souvent un suivi médical continu.
La Journée mondiale de la maladie de Kawasaki : objectifs et actions
La Journée mondiale de la maladie de Kawasaki va au-delà de la simple sensibilisation. Elle constitue à mettre en œuvre des actions concrètes visant à améliorer la vie des personnes touchées et à stimuler la recherche médicale.
Explication des objectifs de la Journée mondiale de la maladie de Kawasaki
L’objectif principal de cette journée est de sensibiliser le public à la maladie de Kawasaki, en mettant l’accent sur l’importance d’un diagnostic précoce et d’un traitement approprié. Il s’agit également de réduire les stigmates associés à cette maladie rare et de promouvoir une compréhension plus profonde des défis auxquels sont confrontées les personnes touchées. En éclairant sur cette maladie, cette journée vise à favoriser un soutien accru, tant sur le plan communautaire que médical.
La Journée mondiale de la maladie de Kawasaki encourage activement des actions éducatives pour le grand public, y compris la diffusion d’informations précises sur les signes et symptômes de la maladie. Des campagnes de sensibilisation en ligne et hors ligne sont organisées pour toucher un public diversifié.
Pour soutenir les personnes touchées, des initiatives caritatives, des groupes de soutien et des ressources éducatives sont souvent renforcés le jour de la manifestation. Ces efforts visent à offrir aux familles et aux patients les ressources nécessaires pour faire face aux défis médicaux, émotionnels et sociaux associés à la maladie de Kawasaki.
L’encouragement de la recherche médicale constitue également une facette cruciale de cette journée. Des fonds sont levés pour financer la recherche visant à mieux comprendre les mécanismes sous-jacents de la maladie, à développer des traitements plus efficaces et, ultimement, à améliorer les résultats à long terme pour les personnes affectées.
Comment pouvez-vous contribuer ?
Vous pouvez participer à votre échelle à la Journée mondiale de la maladie de Kawasaki en partageant ces informations avec vos proches, en utilisant les médias sociaux pour diffuser des faits clés et en encourageant la discussion. Chaque geste compte dans la lutte contre cette maladie rare.
Si vous cherchez des moyens plus concrets pour contribuer, envisagez de faire un don à des organisations de recherche dédiées à la maladie de Kawasaki. Ces fonds permettront de financer la recherche médicale, développer des traitements novateurs et offrir un soutien aux personnes touchées.
En conclusion, la Journée mondiale de la maladie de Kawasaki incarne bien plus qu’une simple date sur le calendrier. Elle représente une opportunité cruciale de sensibiliser le monde à une maladie rare et souvent mal comprise. La reconnaissance des symptômes, le soutien aux personnes touchées et la promotion de la recherche médicale sont autant d’aspects essentiels pour faire progresser la compréhension et le traitement de la maladie de Kawasaki.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
CARCEPT Prévoyance
En l’absence d’une désignation particulière expresse dûment notifiée par vos soins à l’Institution, le capital décès est versé selon l’ordre de priorité ci-après :
- votre conjoint survivant, non divorcé, non séparé de corps judiciairement ou de fait ou le partenaire auquel vous êtes lié par un PACS.
En cas de polygamie valable en droit en raison de votre nationalité ou du lieu de votre mariage, le capital est réparti par parts égales entre vos conjoints non divorcés, non séparés de corps judiciairement ou de fait. - à défaut, votre concubin peut, s’il répond aux conditions définies dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172), être assimilé à votre conjoint ;
- à défaut, et par parts égales, vos enfants à charge tels que définis dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172) pour l’ouverture du droit à la majoration du capital ;
- à défaut, et par parts égales, vos autres enfants, vivants ou représentés ;
- à défaut, et par parts égales, vos ascendants ;
- à défaut, et par parts égales, vos héritiers.
AG2R
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Sauf désignation particulière expresse dûment notifiée par vous-même à l’Institution, et sous réserve de dispositions spécifiques prévues sur le récapitulatif des garanties en annexe, le capital de base est payable :
- à votre conjoint, tel que défini précédemment ;
- à votre concubin, tel que défini précédemment ;
- à défaut, à vos enfants, vivants ou représentés, par parts égales entre eux ;
- à défaut, à vos ascendants, par parts égales entre eux et en cas de décès de l’un d’eux la totalité au survivant ;
- à défaut, à vos héritiers.
Dans l’hypothèse où le(s) bénéficiaire(s) désigné(s) décède(nt) avant le Participant, le capital sera attribué dans l’ordre défini ci-dessus en l’absence de désignation.
FERMERS’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
- En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
- À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux
1 / Perte de traitement consécutive à une incapacité temporaire de travail
-
La garantie Incapacité temporaire de travail indemnise l’agent pour l’ensemble de ses arrêts de travail dès le passage à demi-traitement (hors AT/MP statutairement à la charge de l’employeur)
2/ Perte de traitement consécutive à une invalidité
-
La garantie Invalidité complète le traitement de l’agent du jour de son passage en retraite pour Invalidité jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
3 / Capital Décès / Porte Totale et Irréversible d’Autonomie
-
La garantie Décès permet le versement d’un capital à la hauteur de 100% du TIB de l’agent (contrairement au statut qui prévoit une indemnité en % du PMSS)
4 / Minoration de pension de retraite consécutive à une invalidité
-
La garantie Perte de retraite complète le manque à gagner subi par l’agent en situation d’Invalidité permanente jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
S’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
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En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
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À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux