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Comment les écrans affectent votre sommeil et que faire à ce sujet
L’utilisation des écrans avant le coucher est devenue une pratique régulière dans nos vies. Cependant, cela a des effets néfastes sur la qualité de notre sommeil et des conséquences sur notre bien-être. Avec quelques conseils pratiques, voici comment concilier technologie et repos nocturne.
Quel est l’impact du temps passé devant un écran avant le coucher sur la qualité du sommeil ?
Voici pourquoi les écrans sont à limiter avant le coucher
- Lumière bleue : Les écrans émettent de la lumière bleue, une composante qui peut inhiber la production de mélatonine, l’hormone du sommeil. Cette exposition prolongée peut perturber le cycle naturel du sommeil, rendant l’endormissement difficile.
- Stimulation mentale : Les activités sur écran, comme regarder la télévision ou naviguer sur Internet, peuvent stimuler le cerveau, le maintenant en éveil. Cette stimulation peut rendre la relaxation nécessaire à l’endormissement plus difficile.
- Distraction : L’utilisation d’appareils électroniques avant le coucher peut entraîner une distraction mentale, interférant avec la capacité à calmer l’esprit pour s’endormir.
- Rythme circadien perturbé : Une exposition tardive à la lumière artificielle des écrans peut perturber le rythme circadien, l’horloge interne du corps qui régule le cycle veille sommeil. Cette perturbation peut se traduire par des difficultés à s’endormir et à se réveiller le matin.
Ces éléments soulignent l’importance de limiter l’utilisation des écrans le soir pour préserver un sommeil de qualité.
Est-ce que l’utilisation d’écrans empiète sur le temps réservé à d’autres activités nécessaires pour une bonne qualité de sommeil ?
Passer de longues heures sur écran peut nuire à une bonne hygiène de sommeil.
- Réduction du temps de sommeil : Les sessions prolongées devant un écran tendent à réduire considérablement la durée effective du sommeil. Que ce soit pour suivre un épisode de série tardif, naviguer sans fin sur les réseaux sociaux ou plonger dans une partie de jeu vidéo, chaque minute supplémentaire consacrée à l’écran réduit le temps précieux que l’on pourrait passer à dormir paisiblement.
- Déplacement des activités de relaxation : Le temps passé devant un écran peut aisément remplacer des rituels apaisants pré-coucher. Plutôt que de s’adonner à des activités relaxantes comme la lecture d’un livre, l’écoute d’un podcast ou la méditation, de nombreux individus se retrouvent captivés par les écrans, retardant ainsi le processus d’endormissement.
- Perturbation de la routine du coucher : Les écrans s’immiscent souvent dans la routine nocturne en injectant des stimuli qui activent le cerveau au lieu de le préparer à l’apaisement. Une routine de coucher cohérente et relaxante devient ainsi compromise, privant le corps des signaux nécessaires pour se préparer au repos.
- Altération de la qualité du sommeil : L’excès de temps passé devant un écran nuit également à la qualité du sommeil en perturbant le rythme naturel du sommeil et en réduisant le temps passé dans les phases essentielles de récupération, comme le sommeil profond et paradoxal.
En bref, l’usage excessif des écrans se révèle néfaste pour les habitudes de sommeil saines. Limiter leur utilisation avant le coucher et privilégier des activités relaxantes peut s’avérer essentiel pour garantir des nuits réparatrices et un bien-être optimal.
Top 5 des conseils pour une utilisation saine des écrans avant le coucher
Quelques ajustements simples peuvent aider à atténuer les effets néfastes et adopter une utilisation saine des écrans avant le coucher, vous permettant ainsi de favoriser un repos réparateur et une meilleure qualité de vie.
- Établissez une routine de déconnexion : Fixez une heure spécifique pour éteindre tous les appareils électroniques avant de vous coucher. Cette pratique simple envoie un signal clair à votre corps pour se préparer au sommeil.
- Créez une zone sans écran dans la chambre à coucher : Éliminez les écrans de votre espace de repos pour favoriser un environnement propice au sommeil. Optez pour du contenu audio relaxant si vous avez besoin d’une aide au sommeil.
- Utilisez des filtres de lumière bleue : Réduisez l’exposition nocive à la lumière bleue en utilisant des applications ou des réglages sur vos appareils électroniques. Des lunettes filtrantes peuvent également être utiles pour protéger vos yeux.
- Maintenez une routine de soutien à l’heure du coucher : Créez un rituel apaisant avant de vous coucher pour indiquer à votre cerveau qu’il est temps de se détendre. Que ce soit écouter de la musique douce, lire un livre ou pratiquer des exercices de respiration, trouvez ce qui vous convient le mieux.
- Limitez l’utilisation des écrans avant le coucher : Réduisez graduellement le temps passé devant les écrans avant de vous coucher. Privilégiez des activités relaxantes pour vous aider à vous préparer à un sommeil réparateur.
Les écrans perturbent le sommeil : des données chiffrées l’attestent
Selon l’enquête INSV/MGEN de 2023, une proportion significative de 37 % des Français expriment leur insatisfaction quant à la qualité de leur sommeil, avec une prédominance chez les femmes, atteignant 44 %. Les résultats de cette enquête mettent en évidence une corrélation marquée entre l’insatisfaction liée au sommeil et la présence d’insomnie ainsi que de troubles du rythme veille-sommeil. Environ 42 % des participants rapportent souffrir d’au moins un trouble du sommeil, principalement l’insomnie pour 20 % d’entre eux et les troubles du rythme du sommeil pour 17 %.
Parallèlement, il est observé une diminution de la durée moyenne de sommeil des Français, tant en semaine que pendant le week-end. En semaine, la durée moyenne de sommeil se situe à 6 heures 58 minutes, par rapport à 6 heures 57 minutes en 2019. Le week-end ou pendant les congés, cette durée diminue de 34 minutes, passant à 7 heures 40 minutes par rapport à 8 heures 14 minutes en 2019, en raison d’un réveil plus précoce les samedis et dimanches, avec une heure moyenne de lever à 7 heures 29 minutes.
Ces données soulignent un déclin persistant de la durée et de la qualité du sommeil chez les Français, suggérant un besoin accru d’attention et de prise de mesures pour promouvoir de meilleures habitudes de sommeil.
Sources :
https://www.alptis.org/complementaire-sante/sommeil/ecran/
https://www.calm.com/blog/screen-time-before-bed
https://www.sutterhealth.org/health/sleep/screens-and-your-sleep-the-impact-of-nighttime-use
https://institut-sommeil-vigilance.org/sommeil-croyances-sante-mentale-et-eco-anxiete-enquete-insv-mgen-journee-du-sommeil-2023/
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
CARCEPT Prévoyance
En l’absence d’une désignation particulière expresse dûment notifiée par vos soins à l’Institution, le capital décès est versé selon l’ordre de priorité ci-après :
- votre conjoint survivant, non divorcé, non séparé de corps judiciairement ou de fait ou le partenaire auquel vous êtes lié par un PACS.
En cas de polygamie valable en droit en raison de votre nationalité ou du lieu de votre mariage, le capital est réparti par parts égales entre vos conjoints non divorcés, non séparés de corps judiciairement ou de fait. - à défaut, votre concubin peut, s’il répond aux conditions définies dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172), être assimilé à votre conjoint ;
- à défaut, et par parts égales, vos enfants à charge tels que définis dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172) pour l’ouverture du droit à la majoration du capital ;
- à défaut, et par parts égales, vos autres enfants, vivants ou représentés ;
- à défaut, et par parts égales, vos ascendants ;
- à défaut, et par parts égales, vos héritiers.
AG2R
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Voici la désignation type de votre contrat : En cas de décès, à défaut de bénéficiaire désigné, le capital garanti est versé par ordre de préférence :
- au conjoint non séparé judiciairement,
- à défaut à son partenaire avec lequel il est lié par un Pacte civil de solidarité,
- à défaut, par parts égales entre eux, aux enfants de l’assuré vivants ou représentés et, s’agissant des enfants du conjoint ou du partenaire lié par un Pacte Civil de Solidarité, à ceux ayant ouvert droit à la « majoration par personne à charge » s’agissant de l’option 1 ou au versement de la rente éducation s’agissant de l’option 2,
- à défaut, par parts égales entre eux, au père et à la mère de l’assuré, ou au survivant d’entre eux,
- à défaut, aux héritiers de l’assuré.
Sauf désignation particulière expresse dûment notifiée par vous-même à l’Institution, et sous réserve de dispositions spécifiques prévues sur le récapitulatif des garanties en annexe, le capital de base est payable :
- à votre conjoint, tel que défini précédemment ;
- à votre concubin, tel que défini précédemment ;
- à défaut, à vos enfants, vivants ou représentés, par parts égales entre eux ;
- à défaut, à vos ascendants, par parts égales entre eux et en cas de décès de l’un d’eux la totalité au survivant ;
- à défaut, à vos héritiers.
Dans l’hypothèse où le(s) bénéficiaire(s) désigné(s) décède(nt) avant le Participant, le capital sera attribué dans l’ordre défini ci-dessus en l’absence de désignation.
FERMERS’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
- En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
- À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux
1 / Perte de traitement consécutive à une incapacité temporaire de travail
-
La garantie Incapacité temporaire de travail indemnise l’agent pour l’ensemble de ses arrêts de travail dès le passage à demi-traitement (hors AT/MP statutairement à la charge de l’employeur)
2/ Perte de traitement consécutive à une invalidité
-
La garantie Invalidité complète le traitement de l’agent du jour de son passage en retraite pour Invalidité jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
3 / Capital Décès / Porte Totale et Irréversible d’Autonomie
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La garantie Décès permet le versement d’un capital à la hauteur de 100% du TIB de l’agent (contrairement au statut qui prévoit une indemnité en % du PMSS)
4 / Minoration de pension de retraite consécutive à une invalidité
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La garantie Perte de retraite complète le manque à gagner subi par l’agent en situation d’Invalidité permanente jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
S’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
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En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
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À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux